Histoire belge… ou la chronique d’un échec

 
Tous les ans est organisé un challenge inter-universitaire afin de faire concourir des équipes d’étudiants des instituts d’urbanisme appartenant à l’APERAU.

En avril dernier, quatre étudiants de l’IATU ont ainsi participé au challenge, qui se tenait cette année à Bruxelles. Ils ont été opposés à 7 autres équipes (Rennes, Lille, Paris-IFU, Reims, Lyon, Grenoble et Toulouse). L’objectif était de proposer un projet d’urbanisme sur un site imposé et ce, en l’espace de 3 jours.

En plus de la découverte, au dernier moment, d’un terrain inédit, l’originalité de cette édition consistait à s’immerger dans le contexte institutionnel belge (ce qui représente en soi une performance intellectuelle).

Dans l’espoir que l’IATU soit représenté régulièrement lors de ce challenge (d’autant que l’édition 2010 doit se dérouler à Toulouse), des membres de l’équipe envoyée à Bruxelles vous proposent un retour d’expérience. Il s’agira d’évoquer le concours, le terrain bruxellois, de vous présenter le projet réalisé par l’équipe et même, car nous sommes magnanimes, de revenir sur les conditions d’un échec (l’équipe du IATU étant lamentablement absente du palmarès 2009).

Si vous êtes intéressés par l’épreuve, si vous vous demandez ce que sont capables de livrer des élèves du IATU à l’issue de la formation (et en l’espace de 3 jours) ou tout simplement parce que l’évocation d’un cas d’étude hors Bordeaux vous changerait un peu, une délégation de perdants vous recevra mercredi 14 octobre 2009de 13h à 14h.

Vous pourrez également découvrir :
- pourquoi prendre le métro à Bruxelles n’a rien d’évident, surtout si vous voulez vous rendre en un endroit précis
- que les belges adorent creuser des trous… pour tout… tout le temps
- que le Manneken Pis a un alter-ego féminin qui mérite davantage de reconnaissance
- que le procédé de sélection du IATU pour ce challenge est ultra-transparent
- pourquoi les Belges aiment les vieilles maisons.